3 effets secondaires de la ménopause

Toutes les femmes, à une période de leur vie connaissent tous ce que l’on appelle la ménopause. C’est une période où elles sont dans l’incapacité physique de pouvoir concevoir. Souvent très difficile à gérer, l’arrivée de la ménopause chez une femme affecte non seulement ses organes reproductifs mais influence également son humeur, ses envies et même sa peau. Avec une prise en charge complète dans un laboratoire privé, toutes les femmes ménopausées pourront vivre de façon adéquate leur période de ménopause. La ménopause est une période normale qui survient chez la femme à un âge avancé, seulement que dans certains cas, elle peut être précoce c’est-à-dire apparaître avant l’âge de 50 ou de 55 ans.

Quels sont les symptômes de la ménopause ?

Les conséquences du vieillissement ovarien encore appelées effets secondaires de la ménopause sont nombreuses et varient d’une femme à une autre. Toutefois certaines sont communes à toutes les femmes. Nous avons les bouffées de chaleur : c’est le premier symptôme de la ménopause. La plupart des femmes ménopausées en sont affectées. Elles peuvent durer pendant près de 10 ans à compter du début de la ménopause mais leur intensité diminue au fil des années. Elles peuvent être accompagnées de fourmillements, d’angoisse et surviennent à n’importe moment de la journée à travers une sueur importante principalement dans le visage. Le second symptôme est la prise de poids. Durant la ménopause, la prise de poids est quelque chose de très délicat car selon des études il est très difficile de perdre les kilos pris durant la ménopause. Sans activité physique, bienvenue la grosseur. Enfin nous avons la fatigue qui se manifeste par une faiblesse physique et même mentale. Parmi tous les symptômes de la ménopause, ces trois cités sont les plus importants.

Comment traiter la ménopause ?

Le traitement de la ménopause se fait de deux manières : le traitement hormonal de la ménopause(THM) et le traitement symptomatique non hormonal.  Le THM se base sur la prise de l’œstrogène et de la progestérone par voie orale, cutanée ou vaginale. Le second traitement se fait à base d’autres produits qui ne sont pas des hormones. Dans ce cas, les lubrifiants vaginaux sont utilisés, la vitamine E est prise, et des règles hygiéno-diététiques sont respectées. Toutefois, le THM se révèle être un traitement à caractère nocif pour l’organisme de la femme. Il augmente les risques des maladies vasculaires (AVC, infarctus) et cancérigènes (du sein, de l’endomètre, du col de l’utérus). A cela peuvent s’ajouter d’autres gênes gynécologiques comme des saignements, des fibromes ou d’autres signes.